Liberté Éditorial

LES ÉDITOS

  • Un air de "LIBERTÉ" s’en va

    Aujourd’hui, vous avez entre les mains le numéro 9050 de votre quotidien Liberté. C’est, malheureusement, le dernier. Après trente ans, Liberté disparaît du paysage médiatique algérien. Des milliers de foyers en seront privés, ainsi que les institutions dont les responsables avouent commencer la lecture par notre titre pour une simple raison ; c’est qu’il est différent des autres.

  • À chacun sa prédiction

    L’échec des Verts à la qualification pour le Mondial 2022 au Qatar a produit une onde de choc au sein de la population algérienne et des instances du football. La désillusion est énorme et n’a d’égal que les immenses espoirs suscités par le sacre africain de 2019 en terre égyptienne.

  • L’autel est dressé

    Inéluctable. Liberté mourra de sa belle mort. La sentence nous est tombée sur la tête tel un couperet, sans préavis, sans le moindre des égards dus à un collectif qui a bravé, trois décennies durant, tous les dangers pour continuer à porter la voix des forces saines de la société algérienne.

  • Requiem

    Qui aurait bien pu l’imaginer ? En tout cas pas l’auteur de ces lignes qui, près de deux décennies durant, aura vécu les péripéties de l’entreprise, autant dans ses moments fastes que dans ses instants d’égarement et d’incertitude : à quelques semaines de la célébration de ses trente années d’existence, le journal que vous avez entre les mains va disparaître du paysage médiatique national.

  • Le ressenti et le chiffre brut

    Le décret portant révision à la hausse du point indiciaire, considéré comme une des variables calculant la rémunération des fonctionnaires, vient d’être publié au Journal officiel.

  • Plus qu’un journal !

    Tous ceux qui ont traversé sa rédaction, les anciens et les nouveaux, avaient de leur plein gré opté pour Liberté, souvent par conviction, par adhésion (naïve) à un idéal, un rêve né du bouillonnement de la fin des années 1980.

  • “Liberté”, j’écrirai ton nom !

    Le quotidien d’information Liberté, le vôtre, disparaîtra dans moins de dix jours du paysage médiatique national. La décision brutale qu’a prise, il y a quelques jours, son propriétaire, Issad Rebrab, a été entérinée hier par l’assemblée générale extraordinaire. Un véritable cataclysme médiatique que nul n’a vu venir après trente ans d’existence, de lutte et de résistance.

  • Infanticide

    À deux mois de fêter son 30e anniversaire et à moins d’un mois de la Journée internationale de la liberté de la presse, le journal Liberté va être enterré, par une sentence de son propriétaire qui a décidé sa dissolution. Cette dernière sera actée aujourd’hui par une assemblée générale extraordinaire qui liquidera en cinq minutes trois décennies d’un parcours d’un titre qui a pu se maintenir au sommet du paysage médiatique depuis sa création en 1992.

  • Liberté d’espérer

    Est-ce la fin de l’histoire ? Jamais. Depuis une semaine, le sort du journal Liberté agite les consciences, secoue le pays, fait réagir fortement les Algériens au-delà de leurs clivages. Signe d’un attachement viscéral à l’idée du journalisme et de ce qu’il incarne comme valeurs dans la vie d’une nation.

  • Le temps de guérir

    Depuis un peu plus d’un mois, la pandémie de Covid-19 enregistre un net recul. Les bilans quotidiens des autorités du pays ne sont plus de nature à inquiéter et les Algériens retrouvent enfin le goût d’une vie normale.

  • Communiqué- Liberté

    Nous avons appris avec stupéfaction que l’actionnaire majoritaire de la SAEC-Liberté, société éditrice du quotidien Liberté, M. Issad Rebrab, a pris la décision de fermer le journal et qu’une assemblée générale devant l’acter est prévue pour le 6 avril prochain.  

  • Morosité

    Cette année, le mois de Ramadhan est marqué par le retour à une vie quasi normale, après deux années de sévères restrictions dues à la crise socio-sanitaire. Les Algériens pourront probablement renouer avec les sorties nocturnes, les soirées familiales et toutes ces activités religieuses, culturelles ou ludiques que la Covid-19 avait rendues impossibles durant les Ramadhans 2020 et 2021.

  • L’état de confiance

    La libération d’un détenu d’opinion est toujours une bonne nouvelle. Une réparation qui procure du bonheur aux familles meurtries par la privation de liberté de l’un des leurs. L’épreuve carcérale n’est jamais facile.

  • Jeu et enjeux

    Bien plus qu’un échec footballistique, l’élimination de l’équipe, c’est d’abord une faillite de ceux chargés de la protéger...

  • La revendication et la méthode

    N’est-ce pas qu’il est du devoir de toutes les composantes du secteur de l’éducation nationale, à commencer par le corps enseignant, de mettre les élèves dans les meilleures conditions et de veiller à la bonne marche des enseignements ?...

  • Assassinat d’Abane, le péché originel

    Le spectre (anza) d’Abane continue de hanter nos consciences. Il nous rappelle l’origine du mal algérien...

  • L’œil de Moscou et l’oreille de Washington !

    Devant cette nouvelle ligne Maginot, les pays historiquement “non-alignés” se trouvent balancés entre l’œil de Moscou et l’oreille de Washington...

  • Kahina, islam et liberté

    À contre-courant de cette religiosité sclérosante, le livre de Kahina Bahloul ouvre une nouvelle voie, celle de l’ouverture et de la fraternité universelle...

  • L’Algérie des femmes

    Elles ferraillent contre un modèle social éculé, pourfendent un système de pensée suranné. Elles sont la preuve vivante d’une Algérie qui avance...

  • Dangereuse dépendance

    Propulsée, de nouveau, par la crise russo-ukrainienne, la problématique de la sécurité alimentaire occupe de plus en plus le devant de la scène au niveau international.

  • C’est encore possible !

    Enfin libre ! Après près de neuf mois passés derrière les barreaux, le coordinateur du MDS, Fethi Ghares, a retrouvé hier la liberté, les siens, ses amis et sa famille.

  • Le monde bouge, et nous ?

    Le changement de la position espagnole sur le dossier sahraoui acte une nouvelle étape dans le “changement” d’alliances à l’œuvre dans la région depuis les Accords d’Abraham.

  • Roulette russe

    Qu’est-ce qui a bien pu pousser l’Espagne à changer subitement sa position, observée depuis près d’un demi-siècle, concernant le conflit sahraoui en s’alignant désormais sur l’option défendue par les Marocains,

  • Morts pour nos libertés

    Le soixantième anniversaire des Accords d’Évian est une occasion pour se souvenir du parcours d’exception des combattants pour la libération, la souffrance d’un peuple soumis à un ordre colonial et ce qu’il représente comme abomination.

  • Le cours de l’Histoire

    Le 19 Mars 1962, qui marqua la fin de la guerre d’Indépendance après sept années de sanglants affrontements armés, a été consacré fête de la Victoire sur un système colonial dont la fin était inéluctable.

  • Editorial Un air de "LIBERTÉ" s’en va

    Aujourd’hui, vous avez entre les mains le numéro 9050 de votre quotidien Liberté. C’est, malheureusement, le dernier. Après trente ans, Liberté disparaît du paysage médiatique algérien. Des milliers de foyers en seront privés, ainsi que les institutions dont les responsables avouent commencer la lecture par notre titre pour une simple raison ; c’est qu’il est différent des autres.

    • Placeholder

    Abrous OUTOUDERT Publié 14 Avril 2022 à 12:00

  • Chroniques DROIT DE REGARD Trajectoire d’un chroniqueur en… Liberté

    Pour cette édition de clôture, il m’a été demandé de revenir sur ma carrière de chroniqueur dans ce quotidien.

    • Placeholder

    Mustapha HAMMOUCHE Publié 14 Avril 2022 à 12:00