
Dans un article paru dans notre édition du 16 février, page Actualité, nous avons écrit par erreur le nom de Mme Bouledroua au lieu de celui de Mme Bouloudenine Mouna, condamnée à 6 mois de prison ferme pour la publication sur les réseaux sociaux d’un post appelant au boycott de l’élection présidentielle du 12 décembre 2019. Nous présentons nos excuses aux intéressées et à nos lecteurs pour cette malencontreuse méprise.